CORSICA

Armés d'une 206 rallye conduite par notre "pilote qui a toujours faim", dit "Jé le mono", nous parcourons les routes de Corse, toujours aussi sinueuses, et nous regardons le paysage. De bonnes vacances quoi ! Quelques déceptions tout de même, comme une attaque de moustiques au camping de Porto-Vecchio, ou encore un feu d'artifice tout moisi à Ajaccio pour le 14 juillet........ Enfin on était content, on s'est pas fait plastiquer notre voiture ni incendié notre serviette sur la plage. On a aussi fait un p'tit tour en bâteau (pour voir les zolies falaizes de Bonifacio), un p'tit tour à cheval (et chui même pas tombé alors qu'il est allé au galop...euh je tiens à préciser que je ne lui avais rien demandé...), et quelques petits tours à pied (en pleine chaleur), en voiture (au frais), et en bus (y'avais plus de scooters).

Voilà donc des vacances, ma foi encore fort sympatiques, en compagnie de Roro, Ma, et Jé, que je remercie beaucoup. Mais la prochaine fois, on va moins au restaurant, ok ?!

Après avoir passé une bonne nuit sur le bâteau au frais, j'arrive enfin dans le pays la région du plasticage de voitures, de l'accent, des gens qui s'arrêtent au milieu de la route pour parler à leur pote au bistrot, des trous de balles dans les murs, mais aussi des paysages magnifiques et du soleil. Ah, le soleil, parlons-en ! Premier jour : bingo coup de soleil ; je m'y ferais jamais ! Pfff ! Tout ça parce que j'attends Rozenn qui vient en avion, elle : Frimeuse ! En tout cas cette attente sur la plage d'ajaccio est sympatique: baignades, lecture, bronzage brûlure, discussion avec un gars qui voit ses vacances en marchant 5 heures par jour dans la montagne ; il est quand-même venu de Bastia à pied, respect ! Bref, Rozenn arrive, on se cherche une demie heure alors qu'on est à 100m l'un de l'autre, on mange (c'était le commencement de la série ristorante !), et on part finalement en bus pour rejoindre les autres parachutistes. Le bus propose de nous arrêter à l'intersection de l'aérodrome : ouais qu'on se dit avec Rozenn ! Pas ouais quand on appelle la p'tiote et qu'elle nous dit que c'est encore super loin : ils sont où les Sherpas qui portent les sacs à dos ? Parce que autant on peut compter sur Rozenn assez souvent, autant dans un cas comme ça vaut mieux même pas lui parler... Enfin tout est bien qui finit bien, étant donné que Ma arrive quelques minutes plus tard avec une amie à elle, en voiture, youpi ! On passe donc la soirée ici, avant de partir le lendemain pour notre tournée du Sud de la Corse...